Quels sont les atouts et les inconvénients de CJDropshipping, ainsi que ses alternatives possibles ?

Posté par : PixelFlora98 - le le 14 Avril 2025

PixelFlora98 :

Salut ! Je me demandais si certains d'entre vous ont déjà utilisé CJDropshipping pour leurs boutiques en ligne ? J'aimerais bien avoir vos retours d'expérience, surtout en termes de facilité d'utilisation, de qualité des produits et de délais de livraison. Et si vous avez des alternatives à conseiller, je suis preneuse aussi ! Je cherche surtout une solution fiable et simple à intégrer avec ma plateforme actuelle.

Commentaires (6)

TechBarde :

Yo PixelFlora98 ! CJDropshipping, hein ? J'ai farfouillé un peu le truc, et c'est vrai que sur le papier, ça envoie du bois. Le "catalogue complet", c'est pas du flan, y'a de quoi faire. Et l'histoire des demandes d'approvisionnement, ça peut éviter de se retrouver à court de stock comme un bleu. Après, faut pas se leurrer, la "forte concurrence", c'est le game du dropshipping, donc que ce soit eux ou un autre, c'est bonnet blanc et blanc bonnet. L'"interface utilisateur complexe", par contre, ça, ça me gonfle direct. J'ai pas envie de passer ma vie à déchiffrer un truc qui devrait être simple comme bonjour. Enfin bon, si t'as l'habitude de jongler avec Shopify et compagnie, ça doit passer. Pour les frais, c'est le serpent qui se mort la queue, un plan gratuit pour commencer, c'est bien, mais après faut raquer, et c'est là que ça peut piquer. Faut bien calculer son coup, quoi. Ce qui est cool, c'est qu'ils misent sur le contrôle qualité, c'est souvent le point faible du dropshipping. Et si en plus ils sont meilleurs qu'AliExpress sur l'expédition, c'est un gros plus. On connait tous les galères de délais avec Ali... Spocket, c'est pas mal non plus comme alternative, un peu plus cher peut-être, mais apparemment plus axé sur des produits de qualité venant d'Europe et des US. Alibaba, c'est l'usine, faut avoir les reins solides pour gérer les volumes et trouver les bons fournisseurs. En gros, CJDropshipping, c'est une option à considérer sérieusement, mais faut pas foncer tête baissée. Bien comparer les prix, tester le service client, et surtout, ne pas hésiter à demander des échantillons pour vérifier la qualité des produits. Si tu te lances, tiens-nous au jus de ton expérience !
Rêverie99 :

Hello ! Je plussoie l'avis de TechBarde, tester des échantillons, c'est M-E-R-C-I. Sinon, pour contourner l'interface parfois... déroutante de CJ, vous pouvez essayer de passer par une API. Ca demande un peu de bidouille au départ, mais après c'est tout bénef niveau automatisation et interface customisée. Si t'as des compétences en dev ou si tu connais qqn qui peut t'aider, ça peut valoir le coup. Y'a pas mal de doc dispo pour CJ, et une fois que t'as pigé comment ça marche, tu peux te faire un truc aux petits oignons pour gérer tes produits et tes commandes sans te prendre la tête avec leur interface. Bon courage !
CodeZen :

L'API, c'est une bonne idée, mais faut avoir le temps de s'y pencher. Perso, je préfère coder une app Flutter, c'est plus mon truc.
Rêverie99 :

Flutter, c'est cool, mais est-ce que c'est vraiment la solution la plus rapide pour prototyper un truc qui va taper dans l'API de CJ ? Si le but, c'est juste de s'affranchir de leur interface, autant rester sur du web, non ? Enfin, chacun son truc, comme on dit. Ce que je voulais souligner, c'est surtout le gain en automatisation. Parce que se palucher les commandes une par une sur leur interface, aie aie aie... Surtout si t'as, disons, une centaine de commandes par jour. D'ailleurs, d'après les données, CJ a été fondé en 2015. Ca fait quand même un paquet d'années qu'ils sont dans le game, et ils ont eu le temps d'accumuler un paquet de données et de process. Autant capitaliser dessus, non ? Et puis, faut pas se leurrer, l'API, c'est pas que pour les grosses boutiques. Même si t'as un petit volume au début, genre, je sais pas, une vingtaine de commandes par semaine, automatiser dès le départ, ça permet de se concentrer sur le marketing et le développement produit. Si tu passes 2h par jour à gérer tes commandes manuellement, ça fait 14h par semaine... 14h que tu pourrais utiliser à prospecter ou à améliorer ton offre. L'avantage de l'API, c'est aussi que tu peux te brancher à d'autres outils. Imagine, tu veux faire du reporting personnalisé. T'as toutes les données de CJ, mais tu veux les croiser avec tes données de Google Analytics, de Facebook Ads, etc. Ben, avec l'API, tu peux te faire un dashboard aux petits oignons, et piloter ton business avec des indicateurs précis. D'après ce que j'ai lu, ils ont des entrepôts mondiaux, donc tu peux optimiser tes livraisons en fonction de la localisation de tes clients. Mais pour ça, faut analyser tes données, et l'API, c'est le meilleur moyen de le faire. Après, c'est sûr, faut pas avoir peur de mettre les mains dans le cambouis. Mais bon, on est des devs ou on l'est pas ? Et puis, y'a de la doc, y'a des tutos, y'a des communautés... Faut juste se lancer. Et si vraiment t'es allergique à l'API, ben, tu peux toujours coder ton app Flutter, hein. Mais pense au temps que tu vas y passer...
TechBarde :

Rêverie99 a raison, l'automatisation, c'est la vie ! Si l'API te fait peur, y'a des outils no-code qui peuvent faire le job. Genre Integromat (ou Make maintenant) ou Zapier. Tu peux connecter CJ à ta boutique et automatiser pas mal de trucs sans coder une seule ligne. C'est un peu moins flexible qu'une API, mais pour démarrer, c'est top. Tu peux te concentrer sur le business, et si ça décolle, tu pourras toujours passer à l'étape supérieure.
PixelFlora98 :

Certes, les outils no-code peuvent dépanner, mais je pense qu'il faut quand même peser le pour et le contre. Souvent, on est vite limité avec ces solutions, surtout si on veut vraiment personnaliser les flux ou intégrer des logiques métier spécifiques. Et puis, il y a la question de la dépendance vis-à-vis de la plateforme no-code. Si elle change ses tarifs ou ses fonctionnalités, on est un peu coincé. Alors qu'avec une API, on garde plus de contrôle sur son code et son infrastructure, non ?